Experiencing Landscape
In our previous exhibition, some young Latin-American architects generously offered others the privilege of contemplating magnificent landscapes which were previously inaccessible to local population. This project for the exhibition adds to the idea of democratising landscapes, adds a hedonistic dimension, thus maximising the sensory experience of these extraordinary panoramas.
In this way, a PSEUDONYME project has the capacity to transform a sea-front promenade into both in-situ sculpture, and public, micro-spaces, forming two plazas with a belvedere suspended above the void to open up perspectives towards the horizon.
In a similar manner, the Fanton Bivouac by DEMOGO, the space seems to dilate before the perception of the vast, awe-inspiring landscape. Sensually opposed feelings emerge: on the one hand, the desire to explore and roam in this extended space and, on the other, the need for shelter and protection in order to retain the human dimension.
In a period of ecological transition, European architects are significantly contributing to the intensification of the inhabitants / nature / landscape interaction.
Explorer le paysage
Dans notre exposition précédente, de jeunes architectes latino-américains offraient généreusement à autrui le droit de contempler des paysages qui auparavant leurs étaient inaccessibles. Le projet de cette exposition ajoute à l’idée de démocratiser les paysages une dimension de hédoniste, maximisant ainsi l’expérimentation sensorielle de ces panoramas extraordinaires.
De cette façon, une intervention de PSEUDONYME à la capacité de transformer une promenade en face de la mer à la fois en sculpture in situ et micro-espace public en formant deux placettes et belvédères suspendus au-dessus du vide pour ouvrir des perspectives vers l’horizon.
De manière similaire, dans le bivouac Fanton de DEMOGO, l’espace semble se dilater devant la perception de ce vaste paysage émouvant. Des situations sensuellement opposées affleurent : d’une part le désir d’explorer et flâner dans cet espace étendu et d’autre part la nécessité de s’abriter et de se protéger pour retrouver la dimension humaine.
Dans une période de transition écologique, les architectes européens contribuent sensiblement à intensifier l’interface habitants / nature / paysages.
