In search of 
“Writing Degree Zero”



“It is because there is no thought without language that form is the first and last instance of literary responsibility, and it is because society is not reconciled that language constitutes a divided condition for the writer.“
Roland Barthes

BAST projects “do not draw their coherence from a formal logic but from a process”. They seek to “lay bare the spaces to clear them of all that is superfluous”..

Similarly, ARCHITECTURE UNCOMFORTABLE WORKSHOP claims that the house in Csömör in Hungary appears not to have been designed. Its aesthetic derives directly from the expression of a constructive system. Elsewhere, in Belgium, the ACTIRIS building derives from a participative process. With this building, its authors demonstrate aesthetically that rehabilitation has resulted in zero waste.

By meticulously seeking neutrality in their language, these works present a virtuous expression of a new form of architectural achievement.


A la recherche du
«Dégré zéro de l’écriture»


“C’est parce qu’il n’y a pas de pensée sans langage que la forme est la première et la dernière instance de la responsabilité littéraire, et c’est parce que la société n’est pas réconciliée que le langage institue pour l’écrivain une condition déchirée.“
Roland Barthes

Les projets de BAST “ne puisent pas leur cohérence dans une logique formelle mais dans un processus“. Ils cherchent “à mettre à nu les espaces pour les dégager de tout ce qui est superflu“.

De la même façon, ARCHITECTURE UNCOMFORTABLE WORKSHOP revendique l’idée que la maison à Csömör en Hongrie semble ne pas être dessinée. Son esthétique est directement issue de l’expression d’un système constructif. Ailleurs, en Belgique, le bâtiment ACTIRIS est issu d’un processus participatif. Avec cet ouvrage, ses auteurs manifestent esthétiquement que la réhabilitation a généré zéro déchet.

En recherchant méticuleusement la neutralité dans le langage, ces œuvres représentent l’expression vertueuse d’une forme nouvelle de réaliser de l’architecture.