Heritage or “re-evaluating memories”


Architecture is also a means of re-valuing memories. These memories manifest themselves in two distinct ways. Either as a heritage in a state of obsolescence to which architects give a new meaning for a new life. Or as works that evoke collective memory, designed by architects to revive often painful memories.

ZENO describe how a pre-existing building is more than just a condition of the project; it is a living material which can be transformed. Furthermore, ROSMANINHO+AZEVEDO assert that it is possible to completely transform a building without destroying its identity. In this way, its purpose can be transformed without betraying the spirit of the place. In the same way, the Tua Valley Interpretive Centre has been created to become a focal point for the roots and development of the local population.

Arising from the search for recognition and preservation of Galicia’s industrial maritime heritage, FUERTESPENEDO ARQUITECTOS demonstrate that it is possible to reinvest in obsolescent buildings by applying measures to improve their energy efficiency.  They demonstrate that enhancing the peri-urban fabric is one of the best ways to sustainably protect the resources of abandoned areas.
From these small-scale projects, these architects anticipate contributing to the solution to these problems on a global scale.

Furthermore, with regard to projects that evoke collective memory, SET Architects’s  Shoah Memorial is today a public open space both as a place to remember the holocaust and a space to celebrate life.

The Belarusian Memorial Chapel in London is part of everyday life. At nightfall, the chapel is gently glows during the prayers to commemorate the dramatic events during the Second World War, when German troops torched communities and their churches in Belarus. In this way, TSZWAI SO’s emotional architecture puts memories to the fore.

L’architecture est aussi un instrument pour valoriser les mémoires. Ces mémoires apparaissent de deux façons distinctes. Soit comme un patrimoine en état d’obsolescence auquel les architectes confèrent un sens nouveau pour une nouvelle vie. Soit en tant qu’œuvres qui évoquent la mémoire collective mises en scène par des architectes pour faire revivre des souvenirs souvent douloureux.


Patrimoine ou “la mémoire mise en valeur”



ZENO nous raconte que la préexistence d’un bâtiment est bien plus qu’une donnée du projet ; c’est une matière vivante qui peut être transformée. Par ailleurs, ROSMANINHO+AZEVEDO affirment qu’il est possible de transformer complètement un bâtiment sans détruire son identité. Ainsi, ses usages peuvent être transformés sans trahir l’esprit du lieu. C’est de cette façon que le Tua Valley Interpretive Centre a été réinvesti pour devenir un ancrage du développement et de l’enracinement de la population locale.

A partir de la recherche de reconnaissance et de préservation du patrimoine maritime industriel de Galice, FUERTESPENEDO ARQUITECTOS démontrent qu’il est possible de réinvestir des bâtiments en état d’obsolescence moyennant l’installation de dispositifs pour améliorer leur efficacité énergétique. Ils démontrent que revaloriser le tissu péri-urbain est une des meilleures façons de protéger durablement les ressources des régions abandonnées.
A partir de la petite échelle, ces architectes comptent contribuer à résoudre des problématiques à échelle globale.

Par ailleurs, en ce qui concerne des projets qui évoquent la mémoire collective, le Shoah Mémorial de SET Architects est aujourd’hui un lieu ouvert au public où l’espace pour se souvenir du génocide donne également lieu à un espace pour célébrer la vie.

Le Belarusian Memorial Chapel de Londres prend vie à un rythme quotidien. A la nuit tombée, la chapelle s’éclaire délicatement9 pendant la prière pour commémorer les évènements dramatiques survenus pendant la seconde guerre mondiale, quand les troupes allemandes détruisirent par les flammes civils et églises biélorusses. Ainsi, l’architecture émotionnelle de TSZWAI SO permet de mettre la mémoire en valeur.